i'm blonde, i'm skinny, i'm rich, and i'm a little bit of a bitch ★ Optimiste : Hum, elle a légèrement abuser du Roi Lion petite mais bon ce n’est pas grave. Seul Gi voit toujours les choses du bon côté et boit le verre toujours à moitié plein. Elle pense qu’il y a toujours une raison pour que les choses arrivent, et il faut l’accepter pour en tirer des leçons, ou pas. Seul Gi prend la vie comme elle vient et l’accepte ainsi. Elle ne pense jamais au pire, elle trouve ça inutile, de plus cela rendrait les gens morose selon elle, donc aucun intérêt. C’est également pour ça qu’elle a toujours un petit sourire aux lèvres et une tête assez joyeuse, heureuse. Dans sa tête, c’est toujours la fête, elle se refuse de voir la vie en noir, par peur d’être contaminer par les dépressifs de la vie.
Sociable : Hey, souriez, dite M6 vous êtes filmé par Seul Gi. Partout ou il y a de la bonne humeur, il y a Seul Gi. Une vrai boule sociable, la demoiselle adore vadrouiller de groupe de personne en groupe de personne en soirée. Même si elle reste fidèle à ses fidèles compagnons de toujours, elle adore rencontrer de nouvelle personne, d’être au courant des derniers potins. Surtout si sa concerne son adorable capitaine de Quiddtich, qui avec le temps elle a apprécié malgré ces quelques mots dur au début. Toujours le sourire aux lèvres et une blague plus ou moins drôle Seul Gi n’a jamais eu de soucis pour ce faire des amis ou quoi que ce soit.
Généreuse : La générosité et la loyauté envers ces amis est en quelque sorte le crédo de Seul Gi. Elle aime aidait les autres à son niveau, tout faire pour qu’il retrouve le sourire. Seul Gi n’aime pas voir des gens triste, cela risquerait d’affecter son morale. Donc c’est mauvais. C’est donc pourquoi Seul Gi se montre très généreuse avec le monde qui l’entoure. Toujours une main tendu vers les étrangers, ou elle en oublie l’une des règles d’or de chez elle « ne pas parler aux étrangers » Oui Seul Gi c’est ça une âme charitable, loyale, une amie qu’on apprécie d’avoir sous le coude, ou bien l’étrangère qui nous tend la main au bon moment.
Têtu : Si vous dite jaune, mais qu’elle préfère vert elle en démordra pas c’est certains. Seul Gi n’est pas du genre à suivre le mouvement pour faire plaisir ou pour apaisé les tensions. Si elle pense quelque chose, elle le maintiendra jusqu’au bout. Et si vous arrivez à la faire flancher, elle dira que non. Jamais, bien trop fière pour cela. Seul Gi à des principes, des convictions et elle les revendiques haut et fort sans aucune gêne. Parfois elle ira même se mêler des affaires des autres juste pour exposé son point de vue. Par contre, elle ne l’impose jamais, elle cherche pas à avoir raison. Elle veut simplement s’exprimer librement, même si elle sait qu’elle a tord.
Feignante : Les matins ainsi que les week-end sont sacrée pour la brune. Venez jamais ô grand jamais la dérangée si elle dort. L’établissement est en feu ? Protéger-là avec un sort et foutez-lui la paix. Seul Gi aime ne rien faire. Si elle peut se posé au milieu d’un part et dormir, elle le fera. D’après vous les cours servent à quoi ? A poursuivre votre nuit, surtout ceux de botanique. La coréenne aime ne rien faire, être tranquille, seule. Le pat-chat il n’y a rien de mieux selon elle. C’est aussi pour ça que de nombreuse fois elle fera les yeux doux à ses amis pour qu’ils lui fassent ces devoirs –et aussi parce que elle en a marre de récolté des T et des D- . Bien entendu son échec dans certains matière sont pas du tout dû à un manque de travaille… absolument pas.
Farceuse : Rire est le meilleure remède pour voir la vie en couleur et pour jamais déprimé. Seul Gi adore faire des farces, être la bout en train de sa bande d’amis. Elle ne conçoit définitivement pas la vie sans une petite graine de folie. Elle use de petit stratagème simple pour le moment, mais plus les années pas à cette école de magie, plus Seul Gi prend un malin plaisir à usait de sa magie pour surprendre les autres. Elle a déjà réalisé des plumes magiques, qui lorsqu’on les utilise, écrit tes pensées au lieu de ton cours ainsi de suite.
Naïve : Seul Gi ne voit jamais rien, pour elle tout le monde il est beau, tout le monde il est jolie. Elle vit chez les bisounours. La demoiselle ne s’imagine jamais que certaines personnes peuvent avoir des idées mal placé ou bien mauvaise. Non, pour elle tout le monde part d’un bon sentiment et les choses dérapant tout simplement. Ce qui fait qu’elle se trouve être fortement influençable par tout le monde, même si ce n’est pas ce qu’elle désire au départ. Une personne assez convainquant peut entraîner Seul Gi dans de sales histoires sans aucun soucis.
Enfantine : Vingt et un ans et toujours une enfant. La demoiselle adore encore Pokemon, Digimon, Magical Doremi ainsi de suite. Pour elle tous ces mondes existent. Après tout, si la magie existe, Pokemon aussi. La brune adore se posait avec les magazines qu’elle a enmeneé de chez elle pour les lire encore et encore. Son comportement a encore de nombreux trait enfantin, tel que gonfler les joues lorsqu’elle n’est pas contente ou bien croiser les bras lorsqu’elle est contrarier. Faire des petits bruits bizarre etc…
Radine : L’argent c’est sacrée. C’est comme les cheveux, sa se prête pas, sa s’abime pas et surtout sa se dépense (ou coupe) pas. Seul Gi a des revenu modeste est cela depuis toujours, ces parents lui ont bien apprit à compter avant de dépenser. De faire le pour et le contre… Et puis il faut se l’avouer, la demoiselle adore se faire inviter par tout le monde. Quand on est aussi gentille qu’elle, c’est ce qu’il arrive presque tout le temps, chanceuse dans sa malchance quotidienne ? C’est le cas de le dire. Seul Gi dépensera son argent que si cela est une extrême urgence et qu’elle n’a définitivement pas le choix, sinon, il restera bien au chaud à la banque des sorciers pendant que les intérêts de son livret sorciers fasse augmenter le tout.
Impulsive : Elle part au quart de tout comme un diesel. Il faut la laisser tranquille, pas l’asticoté trop longtemps sinon la douce Seul Gi peut devenir méchante, un peu comme les schizophrène. Cela va avec son histoire d’être têtu, si on la contredit trop longtemps et que la personne cherche à la faire changer d’avis, cela va partie en cacahuète. Seul Gi a une voix cents fois trop aiguë lorsqu’elle cri. C’est désagréable, elle en perd aussi c’est mots. Elle n’est pas spécialement bonne dans ce genre de situation. Elle est trop innocente pour ça à vrai dire.
Malchanceuse : Elle a dû naître sous la poisse. Seul Gi attire les mauvaises ondes sur elle, ce n’est pas possible autrement. S’il y a bien une personne qui va se prendre la crotte d’un oiseau c’est elle. Ou s’il faut qu’une personne trébuche à cause d’un caillou incrusté dans le sol c’est pour elle. Elle ne sait pas ce qu’elle a fait au karma pour mériter ça, mais une chose est sûr c’est qu’on ne la laisse jamais tranquille. Si on lui dit expressément de faire un objet, soit à cause de son karma ou bien grâce au fait qu’elle soit maladroite elle va l’abimer. Ou encore ses sorts qui terminent mal… Avec elle, rien ne va en général, c’est miss catastrophe. Mais ça va elle le vit plutôt bien.
Maladroite : Seul Gi à des soucis avec sa baguette, de gros. Elle finit toujours par échouer en général. Elle n’est pas très bonne sorcière de combat. Au contraire, elle est douée dans tous les sorts comiques, drôle et inoffensif en soit. La miss a toujours était une catastrophe ambulante, elle fait tout tomber, oublie des ingrédients. A croire que sa malchance la rendu maladroite avec le temps. C’est seulement lorsqu’elle se trouve sur un balai qu’elle n’est plus maladroite. Sur un balai, Seul Gi ne tombe pas, elle voltige bien, elle va vite et surtout elle peut le tenir d’une main tandis que la seconde tient cette fameuse batte qu’elle aime tant.
Froussarde : Seul Gi est courageuse, à sa façon. Oui, elle va aller dans les situations dangereuses, elle va même y aller la tête la première. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle le désirait, souvent elle le regrette même, et se cache derrière la premier venu –les arbres sont ces meilleurs amis dans c’est conditions là- . Seul Gi à peur d’à peu près tout : les moustiques, les insectes, le noirs, les araignées géante ainsi de suite… La jeune femme de vingt et un ans en parait souvent douze dans ce type de situation à s’énerver pour un rien, à crier contre n’importe qui… Souvent cela lui rappel un Halloween qu’elle avait fait lorsqu’elle avait à peine dix ans, déguisé en Salamèche elle c’était perdu dans un labyrinthe hantée pour l’occasion… Elle avait tellement eu peur qu’au final, elle c’était accroupit en plein milieu du chemin étroit et avait attendu qu’on vienne l’aider.
Capricieuse : Elle n’a beau ne pas être fille unique, Seul Gi déteste qu’on lui dise « non ». Ou qu’on ne lui donne pas ce qu’elle veut immédiatement. Ce n’est même pas envisageable à vrai dire. Et si les gens persiste dans leur raisonnement, la demoiselle se fera un plaisir de ne plus les écouter et d’obtenir ce qu’elle veut par ces propres moyens. Même si cela ne se trouve pas être très légale… Après tout la cape d’invisibilité ou autre ce n’est pas fait pour faire jolie. Seul Gi reste tout de même raisonnable, elle n’ira pas s’opposer contre le directeur de l’école, mais contre un préfet c’est certains. Un préfet c’est quoi en fait ? Juste un élève d’une année supérieur à elle qui a le pouvoir de prendre des bains dans une salle spéciale. Rien à envié en soit. Et puis si Seul Gi n’a pas ce qu’elle désire, elle deviendra une véritable boudeuse et râleuse professionnelle jusqu’à que la situation change.
Râleuse : Seul Gi râle encore et encore. Que cela soit avec elle-même dans sa petite tête –ou il semble être plusieurs- qu’aussi bien à table, dans les couloirs, dans les dortoirs. Bref, partout où il y a du monde, elle peut râler. Tout comme, elle n’est pas du matin, le matin elle doit émergée, lui laisser le temps d’émergée, de prendre son petit déjeuné tranquillement avant de lui sauter dessus pour lui raconter que vous venez de réussir un sortilège complexe, alors qu’elle n’arrive même à prononcer le sort correctement. Oui venait pas énervée Seul Gi ainsi. Sinon râler chez elle est une seconde nature. Elle aime ça, se plaindre tout en râlant c’est ce qu’elle préfère. Le pire, c’est quand elle est avec des personnes qu’elle affectionne vraiment, elle râle sans cesse, le tout accompagner à chaque fois de ces mimiques tout droit sortie de drama parfois.
Boudeuse : Il n’y a rien de mieux que de bouder pour un oui ou un non. Elle déteste être contrariée, qu’on dise qu’elle est moins bonne que quelqu’un d’autre dans un domaine qui lui tient à cœur. C’est presque impensable qu’on lui dise cela. Mais si dans ce genre de situation, Seul Gi se vexe vraiment et boude réellement, c’est-à-dire qu’elle répondra à peine, gonflera les joues et détournera la tête, il y a aussi l’autre « boudeuse » en elle. L’autre boudeuse est plus connut des autres. C’est la boudeuse dit de cinq minutes. Si la jeune fille est pas contente pour quelque chose d’infirme, elle va gonflait les joues, dire qu’elle boude. Puis il faut attendre un peu et après elle reviendra vous parlez comme-ci rien ne c’était passée. C’est la version boudeuse soft en quelque sorte.
its my life ★ Aujourd’hui j’ai six ans, c’est mon anniversaire, mais c’est également celui de mon petit frère, Young Ni, il a quatre ans. Oui c’est bizarre nous sommes née le même jour, mais avec des années d’intervalle… mais c’est aussi trop nulle car on fait nos anniversaires le même jour ! Pfff, la vie est injuste. Le seul truc qui est géniale ce jour-là c’est qu’on a chacun notre gâteau respectif. Moi au fruit et mon frère au chocolat blanc.
Juste avant de ramenait les gâteaux dans le salon, je me suis amusais à changer les bougies de mon frère. De bougies tout simple, il est passée à des bougies qui s’éteignent jamais, c’est de la magie, mais
chut , il ne faut pas le dire surtout ! Et puis j’ai hâte de voir sa réaction lorsqu’il verra que les bougies se rallument sans cesse !
Quelques minutes plus tard, une fois les gâteaux en face de nous et la petit chanson terminée, avec mon frère on compta jusqu’à trois pour soufflait nos bougies. Je pris une grande inspiration, j’avais tellement envie de rire en voyant mon petit frère si excitée de soufflait ces bougies. Je suis sûr qu’il va crier en voyant qu’elles se rallumeront ! Le dernier chiffre annonçait par nos parents, je soufflai aussi fort que possible sur mon gâteau et afficha un large sourire en voyant que j’avais réussi à éteindre toute les petites flammes du premier coup. Et la vue de mon frère ne comprenant pas ce qu’il se passait me fit explosait de rire dans les secondes qui suivit. Il était tellement mignon ainsi ! Cela aurait été du gâchis de ne pas lui faire cette blague !
[…]
Mémorable. C’était tout simplement mémorable. Jamais je ne pourrais oublier la tête qu’à fait notre professeur de potion à cet instant même. Il c’était approchait de ma création de la fameuse potion : wiggenweld, qui consiste à vous redonner de la « vie » en quelque sorte si on la boit. Je pense que durant la gueguerre avec les loups garous celle-ci a du être utilisé sans cesse. Je suis sûr que les elfes de maison participaient à la préparation de celle-ci, même si personne n’ose l’avouer.
Mais revenons à nos moutons, alors que j’étais tranquillement en train de finalisé la potion, Mr Im, notre professeur de potion passa à côté de moi pour voir si tout se passait bien –hum, j’ai la fâcheuse habitude de raté mes potions, et de les faire exploser en quelque sorte - . Et pour une fois, oui tout se passait à merveille, il me manquait plus qu’à mettre le dernier ingrédient : le mucus de veracrasse. Mais comme il y a toujours un mais avec moi, cette fois-ci j’ai mis l’ingrédient trop vite, et mon chaudron a commencer à faire une épaisse fumée noire avant de virée violette pour finalement explosé au visage de celui-ci. A la fois gênée et amusée par la situation, je m’inclinais tout ne m’excusant d’une voix assez aiguë qui trahissait mon rire. Bien entendu mon professeur soupira lourdement, retira ces lunettes et me grommela de faire plus attention, que je devrais apprendre à manier l’art de la potion si je ne voulais pas risquer de tuer quelqu’un dans l’avenir. Mais le plus drôle resta quand il me demanda comment j’avais bien put finir en deuxième année avec ce niveau digne d’un T en potion. Dépité, il finit par le lâchait
« Quinze points en moins pour votre maison mademoiselle Ahn, en espérant que cela vous serve de leçon. Lisez votre manuelle au lieu de papillonnait dans la classe »
Peuf. Injustice, le manuelle je l’ai pas lu car je ne comprends rien, et de plus je ne papillonne jamais. Surtout pas dans les sous-sols de l’école…Je fis la moue, grogna que c’était injuste une fois qu’il c’était éloignée, et finit par m’asseoir lourdement sur mon tabouret en regardant une amie en souriant doucement.
« Vivement les sélections de quiddtich. Je veux postuler pour devenir batteuse et toi ? »
[…]
Ommo. Ommo. C’est le jour des sélections, enfin ! Je peux enfin postulée pour devenir batteuse dans l’équipe de Quidditch de ma maison. En général, c’est rare qu’il accepte des secondes années, préférant les plus âgés, les plus musclé quoi. Mais bon qui ne tente rien n’a rien non ? Une fois sur le terrain, équipée pour défendre ma place comme je le peux, je bombais le torse et affichais un large sourire. Hors de question de me laisser démonter par les pépés de ma maison.
La première sélection fût pour les poursuiveurs, ce n’est pas que je m’en contre fiche, mais un peu malgré tout. De plus il n’y avait pas spécialement de canon. Je tournais la tête vers mes « concurrents » soit : deux troisièmes années, cette année l’équipe recherche un batteur,, leur ancien batteur étant partie de l’école pour aller à l’université, donc j’avais des bon statistique pour réussit non ? De plus je suis bonne pour voler... C’est bien l’un des seuls cours ou il n’a pas fallu me hurler dessus pour que j’y arrive. C’est un signe.
Une fois que ce fût mon tour, j’enfourchais mon balai, attrapais la batte qu’on me lançait au passage et commença à voltiger tranquillement. Alors que mes aînés s’amusaient à faire des tours de terrain, je les regardais avec de gros yeux tout ne pensant que cela était complétement stupide et inutile. Une fois que les deux nigots furent prêts, le cognard apparut dans notre champ de vision et c’était partie. A ce moment-là, j’arrêtais enfin de réfléchir et fonça simplement dans le tas. Pour nous mettre en condition, on avait les poursuiveurs sur le terrain qu’on devait protéger de cette balle vicieuse. Aucun souci pour ma part, je devais juste jamais le perdre de vue, simple ?
Hum, j’aurais dû me taire avant de pensée de telle chose, cette balle était vicieuse et très rapide. Mais pour le moment il avait frappé aucun des poursuiveurs que je devais protéger contrairement pour l’un des autres nigots de troisième année. Avantage sorcière quoi !
Au final, je réussis à renvoyer deux fois le cognard contre une fois pour l’autre troisième année, le seul bémol ? Cette jolie balle avait frappé de plein fouet l’un de mes « protéger» alors qu’aucun poursuiveur que le troisième année protéger fût frappé. Je ne perdais cependant pas espoir face à l’issue. Et au pire je retenterais l’année prochaine ! Je suis sûr qu’on sera me trouvait une place. Le quidditch est un sport de sorcier que j’apprécie énormément, il est violent, drôle, imprévisible. Tout ce que j’aime.
Après une bonne demi-heure d’attente insoutenable sur le terrain ovale les résultats furent enfin afficher. Et la surprise fût de taille à la vue des regards qu’on me lancer… J’approchais d’un pas fluet qui cachait tant bien que mal mon angoisse. Etais-je prise ? Ou recalé ? What is the question, comme dirait notre ami Shakespeare. Et à mon grand étonnement, j’étais prise. J’étais la nouvelle batteuse de l’équipe. La petite seconde année venait de laminée deux brutus de troisième année… je vous jure, c’est réellement jouissif. Cependant ce petit moment de plaisir fût coupé rapidement par notre capitaine. Ommo, que j’aime dire ça,
notre capitaine.
« Bravo à vous tous. Je remercie également tous ceux qui ont participé. Retentez l’année prochaine. Nous nous voyons mardi soir à dix-sept heures pour le premier entrainement de la saison. Soyez tous à l’heure. Hum, Ahn je peux te parler quelques instants ? »
Ok. Par contre sa sent le roussit-là. Je lui affichais un léger sourire, avant de roulais des yeux en attendant que tout le monde parte du terrain. Je m’imaginais déjà des centaines de scénarios possible. Le premier est le plus désagréable : il m’a prit car je suis une gosse, le second, il regrette son choix au final mais c’est trop tard. Ou bien, le plus improbable, mais celui que je préfère : il a flashé sur moi. Quoi, comment ça s’est pas possible ? Que vous êtes méchant avec moi. Bref. En tout cas il me sortit rapidement de ma rêverie.
« Voilà. Ahn sache que tu as beaucoup à apprendre. Tu vas devoir travailler d’autant plus dur au vu de ton niveau. Tu as du potentiel, oui. Mais tu dois apprendre à être plus concentré, moins impulsive. Va pas à gauche si il y a pas besoin. Si on a recalé les deux autres batteurs c’est parce qu’on pense que tu peux devenir très douée avec un entrainement sérieux, on peut te modelait quoi. Mais ne nous déçoit pas, sinon l’année prochaine on te reprendra pas. Tu peux être douée si tu travailles dur. Figting ! »
Je ne lui répondais rien, j’acquiesçais avant de partir. En gros j’étais pas la meilleure, mais j’ai été prise… Qu’elle logique implacable. Cela me fou vraiment en rogne. Comme-ci on pouvait « modelait » Ahn Seul Gi comme ça ! Espèce de Ratatak de niveau cinq…
[…]
Je hais la troisième année et c’est foutue cours de l’histoire de la magie… Même si contre toute attente je suis plutôt bonne…. Vivement les vacances…
[…]
« Concentrez-vous, un peu plus de tenue je vous en prie. Ce n’est en babassant que vous allez-y arriver. Surtout vous mademoiselle Ahn. Redressez-vous s’il vous plait et allez-y lancer le sort en première vu que vous tenez tant que ça à attirer l’attention sur vous aujourd’hui »
Elle, c’est la professeur des défenses contre les forces du mal, alias mademoiselle éternelle insatisfaite –Ou Mme Jeong, sa marche aussi-. Elle passe c’est journée à me reprendre en cours, sans compter les affreux P et D que je me coltine sans cesse dans sa matière, pourtant c’est l’une de mes préférées, on apprend des sorts très utile, enfin si un jour on vient à devoir les utiliser réellement. Car excusez-moi, mais je doute qu’on use réellement de nos sorts de défense ou d’attaque en dehors de l’école. Bref, après mettre fait reprit pour la seconde fois du cours la sentence était tombé, je devais effectuer en premier et face à la ribambelle de quatrième année présent dans la salle mon «
expetro patronum »
Je fis alors le vide comme la sorcière l’avait conseillée avant, puis je tentais désespérément de ressentir un sentiment –et je cite- « de bonheur intense », hum, compliqué. Je rouvris les yeux que j’avais précédemment fermé afin de me concentrer et jeta un coup d’œil au professeur.
« M’dame. Je suis désolée… Mais votre histoire de bonheur intense… j’sais pas. Sa me parle pas vraiment… De plus, enfin… »
A vrai dire je laissais ma phrase en suspens, tout en haussant légèrement les épaules. Et miss éternelle insatisfaite me hurlait de nouveau dessus. Je soupirais bruyamment et fit une nouvelle tentative… Mais le souci, c’est qu’au moment où je prononcerais les quelques mots de la formule, je me ridiculiserais face à mon manque de talent inné comme dirait certains. Je décidais donc enfin de me lancer, je pris une large inspiration, remua ma baguette pour lui donner un léger style et lâcha les quelques mots qui allait avec, et là rien du tout. Les éclats de rire se firent en crescendo, à mon tour je lâchais un sourire et fit une révérence à mon « public » avant de me dépêchait de disparaitre du champ de vision de Mme Jeong qui commencer à perdre définitivement patience avec moi.
Le cours défila avec des patronus au rendez-vous, il y avait de tout : entre les lions, les loups, les aigles… que des patronus classe et respectable en soit. Plus les patronus apparaissait, plus je me demandais à quoi ressemblait le mien, à un chaton comme Berliose ? A un éléphant ? Un tigre ? Ou encore mieux un koaka ! Oui, cela devait être un koala, c’était certains. Un sourire aux lèvres, je pris place au fond de la salle, derrière l’hameau d’élèves passionnait par les patronus des autres pour m’entraîner à réussir ce foutue sort, qui soit disant en passant peut nous sauver la mise, pas comme un simple «
experiamus » s’il vous plait.
Les tentatives ont était nombreuses et en vain surtout. De la légère fumée bleu scintillante s’extrait de ma baguette mais rien de plus, excédée d’échouer et surtout vexée, je finis par croisais les bras. La tête basculait en arrière, je repensais à la douce époque ou tout était simple avec mon petit frère Young Ni lorsqu’on jouait à la bagarre avec ces playmobiles. Oui, c’était définitivement le bon temps… dommage qu’il ne soit pas sorcier également. Comme-ci un éclair me traversa l’esprit, je me remis en position, pensa fortement à mon petit frère et lança le sort une nouvelle fois. Et-là, victory. J’avais réussi, vous vous n’imaginez même pas ma fierté ! J’avais bien entendu alerter toute la classe en criant de joie, Mme Jeong s’apprêtait à me disputait de nouveau, lorsqu’elle aperçut mon patronus courir à travers les autres élèves.
Puis mon bonheur redescendit presque aussitôt qu’il était arrivé. Mon patronus n’était pas un koala, cette chose qui se baladait il y a encore quelques secondes était une loutre. Une loutre ! Mon patronus est une loutre… Pourquoi pas une sirène tant qu’on y est ! Je restais interdite plusieurs instants avant de me laisser tomber par terre en criant comme une enfant.
« Pourquoi a-t-il fallut que ça soit une loutre ? C'est moche les loutres, et puis c’est moche et sa pue ! »
Cette scène aurait presque pût faire partie d’un drama tiens… si cela n’était pas si étrange de se plaindre de son patronus. Dommage.
[…]
Le petits déjeuné, que réclamé de plus au petit matin après une bonne nuit de sommeil ? Personnellement, j’étais plutôt la demoiselle qui fallait pas spécialement dérangée au petit matin en face de mon bol de céréale mélangeait au jus d’orange… mais ça c’était avant que Berliose, mon adorable boule de poile, monte sur la table, trébuche sur le plateau de confiture et termine sa course en mode glissade jusqu’à mon bol qu’il percuta de plein fouet, et de nature maladroite, au lieu de lancer un sort pour figer l’objet ou du moins le ralentir, dans la précipitation j’ai plutôt préférée le faire exploser… C’est tellement plus drôle, d’avoir des céréales ainsi que du jus d’orange partout sur son uniforme. Sans oubliée les regards noirs des autres élèves qui ont été aspergé par mon petit déjeuné. Dans ce genre de situation, je me contente d’attraper rapidement mon petit Berliose pour disparaître au plus vite d’ici. Puis, une fois en sécurité –c’est-à-dire à l’autre bout de notre table, loin des monstres de dernières années- Berliose me dépose le paquet qu’il était si pressée de me donner. Aujourd’hui, c’était la dernière bd de Tintin. Je fis mon petit signe de la victoire de ma main gauche, avant de déballer à toute vitesse l’emballage pour lire cette nouvelle péripétie.
Pas que je sois spécialement fan de Tintin, mais chez les moldus que vous le vouliez ou non, Tintin c’est la base au niveau de la bd. Donc en tant qu’amatrice de bd, je lis Tintin, voilà. Et puis après l’incident du jour c’est bien mérité non ?