Ton punchingball personnel est arrivé. ~

Le soleil s’était levé depuis déjà un bon bout de temps déjà. Ce jour-là, elle avait eu le droit à un planning assez chargé, jonglant avec un bon nombre de matières, passer sa vie sur un siège l’oppressait, et en vu de ses derniers jours…. Elle dormait à peine. Elle devait avoir une ou deux heures de sommeil, rien de plus. Et c’est avec ce manque de sommeil qu’elle cumulait la fatigue même si ce n’était pas elle qui décidait de ses insomnies. Au moins, on pouvait dire qu’elle allait sûrement bien dormir ce soir, qu’elle allait récupérer toutes ces heures de sommeil perdues, du moins c’est ce qu’elle espérait. C’est à la fin de ses cours qu’elle avait pris alors la décision de rentrer le plus vite possible dans son dortoir, ôtant son uniforme pour mettre son pyjama à la va vite pour finalement essayer de dormir. Une chose qui ne collait pas forcément avec, m’enfin, elle espérait qu’elle allait pouvoir dormir tranquillement. A cet instant-là, elle se fichait complètement de rater le dîner, elle n’avait envie que d’une chose : se reposer. Désormais enveloppé dans ses draps, elle était seule dans sa chambre, s’étant couchée assez tôt, elle finit alors par trouver le sommeil. Une demi-heure plus tard, des gouttes de sueur commençaient soudainement à se tracer aux alentours de son front, quelques mèches de cheveux étaient légèrement humides et les sourcils de l’asiatique se fronçaient alors de plus en plus, elle semblait faire un cauchemar. Elle était en train de visualiser un de ces jours où elle se faisait battre par son père où il lui répétait sans cesse qu’elle ne méritait pas de vivre, que son état avait rendu sa femme malheureuse, et soudainement, les actions se déroulèrent tellement vite qu’on pouvait la voir dans la baignoire en sang, qui, avec son père tentait de la noyer malgré qu’il n’en ai pas spécialement eu le courage. Et à la fin de ce cours instant, elle se réveilla d’un sursaut et c’est assez désespérée qu’elle commença à paniquer et la seule chose qu’elle avait trouvé à faire était de sortir, descendant toutes les marches de l’escalier qui la mena finalement au rez-de-chaussée qu’elle aperçut le seul visage dont elle avait besoin de voir. Elle s’approcha de l’entrée de la grande salle pour finalement foncer sur le concerné. Bien vite, elle prit son bras pour le serrer contre elle, et croisa alors son regard sentant clairement qu’elle avait les larmes aux yeux. « .... J-J’ai fait un.... horrible ... cauchemar.... »