i'm blonde, i'm skinny, i'm rich, and i'm a little bit of a bitch ★ Être moi, c’est accepter quelque compromis avec moi-même. Tout d’abord il faut que j’accepte que oui, je m’aime. Attention ! Je ne dis pas que je suis une grosse narcissique, non bien sûr que non. Enfin un peu comme tout le monde. Mais je n’ai aucun complexe et je n’ai pas honte de moi – ce qui doit en énerver plus d’un certainement. Après tout, certains sont adeptes de la modestie et recherche toujours quelque chose à modifier chez eux, mais pas moi. J’ai foi en moi, je connais mes limites et je sais que je peux réussir quand je m’en donne les moyens. Ah oui. Cet autre problème. Vous voyez, certains sont des bourreaux du travail, ils vont vous faire une impressionnante quantité de travail en un temps record et se sera presque parfait. Ce n’est pas mon cas. Non vraiment je suis au-delà de tout ça … Si j’arrive à rendre un devoir plus ou moins correct avec le nombre de mots demandés, je serais déjà très satisfaite de moi. J’essaie de réussir en faisant le moins d’efforts possibles, c’est un peu le même principe de l’individu tentant désespérément d’attraper la télécommande sans bouger du canapé : le moindre effort. Et attention, il est interdit de se lever ! Parce que non, là il y aurait effort. C’est de là que vient mon tendre surnom : procrastineuse. En soit ce mot n’existe même pas ! Mon frère aurait pu me baptiser feignante ou bien encore glandeuse. Mais non, il trouvait que cela sonnait mieux à l’oreille. J’aime ne rien faire. Honnêtement, être allongé dans un lit et se laisser bercer par son environnement c’est juste le pied. Bon en contrepartie je ne suis pas productive pour deux sous. Je suis même contre-productive, vu que j’incite mes amis à en faire de même.

Comment ça le mauvais exemple ? Mais non. Je leur propose juste une autre façon de vivre. Et puis c’est pas comme si j’y mettais pas du mien. J’essaie de prendre les cours sans dormir une seule fois ! Il m’arrive même de compléter mes notes avec celles d’amis. Bon bien entendu ce n’est pas toujours très clair et j’ai moi-même du mal à m’y retrouver. Mais c’est tellement dur de ne pas piquer du nez durant Histoire de la Magie. Cette matière c’est un appel au sommeil ! Et moi je suis faible face au sommeil, je veux dire j’aime l’aventure comme beaucoup d’entre nous, j’aime découvrir et aller peut-être au-delà des règles – ne me dites pas que vous non, je ne vous croirai absolument pas – mais jamais durant mes heures de sommeils. Ou il faudra me travailler au corps. Longtemps, très longtemps. Je ne dors pas par besoin mais par plaisir. Et mon autre plaisir, c’est manger. Rien ne peut me gâcher ma journée si j’ai réussi à dormir environ dix heures et que j’ai pris un bon petit déjeuner très copieux. Sauf bien entendu un examen que j’aurai oublié et que je n’aurai donc pas révisé. Pour le peu que j’aurai révisé … Mais bon ! Attendez, ne fuyez pas, je reste quand même une gentille fille pleine de bonne volonté, quand il y a quelque chose à gagner à la fin, j’arrive toujours à m’en sortir. Et parfois un miracle tombe du ciel et j’arrive à décrocher un O ou bien à être dehors avec mes amis à minuits. Oui, les miracles arrivent, je vous assure. Quand j’arrive à me sortir de mon bazar organisé. Non vraiment, je ne suis pas méchante … Je peux vous paraitre totalement à l’ouest ou bien je m’en foutisme à souhait mais je suis une bonne patte. Si on a besoin de moi je serai là et j’essayerai d’aider au mieux de mes capacités. La preuve, je ne veux pas devenir médiatrice juste parce que le nom est long et compliqué à dire ! Non, vraiment, je porte une réelle attention envers ces castes déconsidérées par notre société magique. Il faut donc juste que je me mette au boulot et que je perde quelque trait gênant de ma personnalité.

Lesquels ? Et bien pour commencer disons que je suis une personne extrêmement têtue. Quand je pense avoir raison, j’ai raison. Un point c’est tout. Les négociations ne sont pas envisageables et j’ai raison même quand j’ai tort. Le plus dur pour moi est d’aller m’excuser en cas de dispute où j’aurai tort – c’est rare, si si je vous le jure. Comment ça je suis de mauvaise foi ?  – car j’ai quand même mon petit orgueil. Et même si globalement je parais « blasée » je suis surtout très impulsive. Mon visage montre mes émotions, et quand on me dit quelque chose ça se voit tout de suite … Et quand je m’énerve, je le fais tout de suite, je ne passe pas par quatre chemins. Je suis une carnassière, donc un sang chaud donc je m’emporte vite. Ma logique est fausse ? Non je vous dis qu’elle est vraie ! Pour finir sur une note positive je dirai que je suis intrépide. Je n’hésite pas, mais je réfléchis après par contre. J’aime rire, m’esclaffer, hurler … Peut-être u peu envahissante pour vous ? Désolée alors. Mais après tout, le monde est fait d’ami, d’individus et d’ennemis.

   



its my life ★
Ma mère est une sorcière et mon père est un moldu. Et comme dirait certains : ce fut un véritable choc quand il appris que sa merveilleuse femme – excellente cuisinière de surcroit – était une sorcière. Un doux mélange explosif qui donna naissance à deux individus : Lim Dong Sun et moi-même, Lim Hye Rin. Bien entendu, mon père n’a pas découvert l’aspect magique de notre mère quand mon frère ainé eut sa première réaction magique – qui fut de faire exploser l’aquarium géant du salon, adieu Nemo je t’aimais bien – non bien sûr que non. Il le sut le jour même de leurs fiançailles. Enfin non, je m’exprime mal … disons plutôt que mon père demanda en mariage ma mère le jour où elle lui annonça qu’elle était une sorcière.

Ce fut comme un drama, ce genre d’histoire qui me fait pousser un soupir alors que mon frère se met à grimacer devant la niaiserie de la situation. Un matin, maman lui a dit … Qu’elle était une sorcière, un être magique et ainsi il découvrit cet univers. Sous le choc, mon père ne répondit pas et s’éloigna, tentant vainement de se faire à l’idée que la femme qu’il aimait n’était pas véritablement celle qu’il croyait connaître. Rah si seulement il y avait eu la mer à proximité ! Il y aurait pu avoir une séquence en plus sur la plage et cela aurait été tellement, tellement plus intéressant. Enfin bref. Mon père a réfléchi, a beaucoup bu aussi … Et puis il s’est dit que magique ou non, ma mère restait ma mère … Alors tel un héros, il se mit à courir vers l’appartement de ma mère, hurlant son nom à s’en rompre les cordes vocales alors que ma mère, l’ignorante, hésitait à quitter la ville, le cœur brisé ! La pluie commença à tomber sur la ville, trempant mon père qui entra précipitamment dans l’immeuble grâce à une vieille dame qui venait juste de sortir et qui le dévisagea, ne comprenant aucunement l’élan romantique qui se déroulait sous ses yeux. Puis il tambourina à la porte de ma mère qui affolait, ouvrit. Et il la demanda en mariage. Alors ? N’est-ce donc pas totalement dramaesque ? Si ? Et bien Oppa se ferait une joie de vous dire que bien entendu, j’en ai trop fait. Et voici la version « officielle » des faits qui serait « beaucoup plus réaliste que mon fantasme de procrastineuse no life, abonné au téléchargement illégal de drama ». La deuxième partie est bien entendu fausse. Je les regarde à la télé comme tout le monde. Enfin bref. Ma mère a avoué, mon père est partie se saoulé, a décidé qu’elle était quand même la femme de sa vie, l’a demandé en mariage et a vomi dans son entrée. N’est-ce donc pas moins merveilleux ?

Si ?

On est d’accord. Gardez donc ma vision des faits. Toujours il était que nous avons vécu dans cet univers magique. Ma mère ne s’est jamais caché d’être une sorcière et comme nous vivions dans une maison, nous étions libres de faire ce que nous voulons. Enfin, « on », je veux dire ma mère surtout. Car à part faire exploser des choses par mégarde, voire un peu de lévitations, Oppa et moi, nous n’étions pas des merveilles. Mais heureusement, il fut un jour où on put enfin quitter l’école moldu pour nous rendre dans une école magique. La magie est dans notre sang, c’est le B-A-BA. Même si étrangement mon frère se retrouve plus doué que moi, ce qui est encore plus ironique vu sa situation. D’ailleurs avant de vous parler véritablement de moi, je dois vous parler de l’être qui se trouve omniprésent dans ma vie et qui a guidé énormément de mes choix. C’est à travers lui que j’ai trouvé ma voie et que je marche, il est donc important que vous compreniez qui est Lim Dong Sun et ce qui lui ai arrivé.


Je ne me rappelle pas clairement des faits. Je pense même les avoir éludé de ma mémoire. Mais commençons par le commencement. Lim Dong Sun est mon frère ainé, de seulement deux ans mais étrangement chaque année quand je pense le rattraper, lui aussi prend un an. Enfin bref, tout ça pour dire que nous avons toujours eu une relation frère/sœur relativement normale, saupoudré d’un peu de magie. L’évènement qui a bouleversé sa vie s’est passé l’été de ses cinq ans. Comme je vous l’ai déjà expliqué je n’ai aucun souvenir de ça. Les vagues brides qui m’en restent sont ma mère en larmes et morte d’inquiétude et mon père le visage sévère, fermé … Mais comme je suis contre ces abominables cliffhanger, je vais tout de suite vous dire ce qui est arrivé alors que nous jouions dans un parc, tard le soir. Dong Sun s’est fait mordre par un loup garou au niveau de l’épaule alors que celui-ci était transformé, changeant de cette façon à jamais la vie de mon frère ainé. Bien entendu, il reste très optimiste, après tout il suit assidument son traitement pour contrôler ses pulsions – merci Tue-Loup – et il en a réchappé. Les crocs auraient pu trancher la carotide et il serait passé de vie à trépas dans un temps relativement court.

Vous vous demandez certainement ce que nous faisions dans un parc, si tard le soir, alors que nous étions en bas âge ? Vous vous dîtes certainement que mes parents étaient irresponsables de sortir avec nous alors que nous étions si petits ? Je ne pourrai pas vous répondre. Et honnêtement je n’ai pas envie de connaître les réponses à ces questions. A quoi bon de toute façon ? Cela demanderait un effort de mémoire – que je n’ai pas envie de faire – et des souffrances inutiles à mes parents. Croyez-moi, ils se sentent bien assez coupable comme ça ! Mais c’était un fait. Mon frère était devenu un loup garou et aujourd’hui, bien qu’on n’en parle pas à voix haute, mon frère et moi sommes persuadés que ce n’était pas une attaque isolée. Après tout, la révolte qui s’est produite le prouve, les loups garous cherchaient à former une milice, une armée si j’osais dire. Cacher un loup garou n’est pas une chose aisée, alors nous avons déménagé dans une zone plus rurale et boisé et mes parents ont cassé leur tirelire pour acheter un assez grand terrain où ils pourraient contenir le loup garou. Ce fut dur pour lui comme pour moi. Ma chambre avait été aménagée au grenier, c’était une très jolie chambre où je pouvais flemmarder avec plaisir, mais aussi assez éloignée pour que Oppa ne puisse pas m’atteindre. Nous avons grandis ainsi, totalement innocents et craignant les soirs de pleines lunes.

Mais Dong Sun et moi étions frère et sœur. Je n’ai connu que ce Dong Sun dans un sens alors ça ne m’a pas génée plus que ça, vu que je n’avais rien pour comparer ;

Dong Sun est un garçon intelligent. Très intelligent. TROP intelligent. Sur le plan théorique il me met à mal et il dispose d’une sorte de don pour la pratique. Vous savez, dans une famille vous avez toujours le génie et le petit cancre. Devinez qui est l’adorable petit cancre. « Cela ne serait pas le cas si tu bossais un peu plus, Procrastineuse. » Gna gna. Sérieusement, vous vous rendez pas compte de la frustration que l’on ressent quand on sort d’un système éducatif coréen pour ensuite tomber sur un cursus que mon frère avait adoré. Une sorte de petit premier de la classe qui adorait se la péter. En plus môssieur est beau gosse, alors la séduction ça le connait. Croyez-moi, je suis terriblement tenté d’avouer à ses soupirantes qu’il dort encore avec un ours en peluche, qu’il suce son pouce quand il est fatigué et que c’est un tyran quand il s’agit de faire le ménage. Si je suis une procrastineuse, lui il se tue au travail. Pourquoi est-ce que le ciel lui a fait cadeau de tout à ce sale petit vantard. Sa première année fut une totale réussite. Avec une ombre au tableau néanmoins et pas des moindres.

Quand on est loup garou, arrivé à atteindre les hautes sphères est une chose presque impossible. On peut le cacher bien entendu, mais c’est risquer le scandale, et ça, certains professeurs l’avaient fait comprendre à mon frère de façon plus ou moins direct. Le rêve de mon frère ? Ambassadeur magique. Il aurait pu, je ne sais pas moi, viser un poste au sein des communautés de loup-garou ? Mais non. Et rien ne s’arrangea suite aux attaques de 2058 à 2060. Etre loup-garou, c’était être vu comme une potentielle nuisance pour la société. Mon frère était presque un paria aux yeux de ceux qui le savaient et évidement le secret éclata bien vite au grand jour. Garder le sourire en continuant d’avancer, cela peut s’avérer être compliqué, mais cela l’était encore plus pour ceux touché par la malédiction de la pleine lune. Et pourtant il s’accrocha. Encore aujourd’hui. Et c’est de voir mon frère tenter désespérément de tenir bon, assis sur son lit en se tenant la tête que je voulu lui rendre son honneur. « Hey, tête de pioche. » Un sourire me répondit, une tête se relève. Il était épuisé moralement et physiquement. « On t’a jamais dit qu’il fallait traiter ses ainés avec respect, procrastineuse ? » « Bah tiens. Je veux voir le texte de lois où c’est mentionné » Un rire s’échappa et il m’ébouriffa les cheveux, me faisant râler. Il savait que je détestais qu’on touche à mes cheveux, certes je n’y passais pas plus de cinq minutes, mais tout de même. La sensation de chaud que cela procurait me déplaisait fortement. « Qu’est-ce que tu vas faire ? » « Hum ? » « Pour l’école. » Il s’était stoppé et avait soupiré, encore. Puis Dong Sun s’était étiré et était tombé sur son lit. « Je vais devenir guérisseur, ça j’ai le droit et ça me plait. » « Guérisseur ? » Guérisseur ? Sérieusement ? Mon vantard de frère ?

Cela me faisait doucement rire.

Il me frappa la tête en faisant la moue alors que je le mimais en train de « soigner » quelqu’un. Comique. Mais plus tard je compris qu’il espérait être réhabilité en aidant les autres. « Je vais devenir médiatrice entre les espèces magiques et hybrides et le monde des sorciers. » J’avais lâché ça comme une bombe au sein du cocon familial. J’ignorais s’il savait pourquoi j’avais choisi cette voie mais Dong Sun, lui le savait.

Tch. Il m’en devra une belle quand je l’aurai réhabilité au sein de la société lui, vu le travail que je vais devoir fournir !


Voilà, maintenant, nous allons nous concentrer sur moi et rien que moi. Qu’est-ce que disaient les français déjà ? Ah oui, le je est méprisable. Et bien désolée, vraiment, mais vous allez devoir le supporter ce jeu et je ne vais pas le peser non plus. Vous allez le voir encore et encore et encore, car maintenant tout va tourner autour de ma petite personne, comme la terre autour du soleil. Mon dieu que ça fait prétentieux … J’ai attrapé le syndrome Dong Sun, ça y est c’est terminé. Je vais tout de même tenter de faire bref car mon histoire commence à trainer en longueur, vous ne trouvez pas ? Enfin bref … Retournons un peu en arrière, à la fin de mes études moldus et au moment où j’allais enfin pénétrer dans le monde de la magie avec excitation. Je vous avoue que la veille de la rentrée, je ne faisais pas la fière. Non seulement je passais après monsieur parfait – qui ne cessait de me rabrouer sur l’état de ma valise – mais en plus je laissais derrière moi mon meilleur allié, l’être le plus précieux de cette famille : Mister Switch. C’était un chat tout ce qu’il y avait de plus normal, un batard que ma mère avait trouvé abandonné alors qu’elle allait faire des achats dans une boutique d’ingrédient de potion. A l’époque il était encore jeune … Aujourd’hui … Et bien disons simplement qu’il est mon maitre et que je suis l’élève. Ses poils longs sont hirsutes, il est énorme et il ne daigne même plus chasser les souris. Non. Et pour vous ramener le courrier, je ne vous dis pas la vitesse … Et pourtant je l’aimais ! Si oppa dormait encore avec son doudou, moi mon doudou, c’était lui ! C’est alors que je commis mon premier délit. Je kidnappais mon chat qui aujourd’hui est à mes côtés en toute circonstance. Personne ne m’en a réellement voulu.

Sauf Dong Sun. Mais il avait toujours été jaloux de l’amour entre moi et Mister Switch.

J’étais une élève moyenne, toujours sur le point de redoubler. Oui, alors ça par contre … Je le suis toujours. J’ai un souci avec les études. Je ne supporte pas étudier, qu’importe le sujet, mes yeux finiront toujours irrémédiablement par se fermer. Un cours de sortilège ? Bim ! Ma joue tombera net sur mon parchemin, me laissant le plaisir de me retrouver à la fin du cours le peu de prise de note que j’ai sur mon visage. Et quand j’arrive à prendre un cours en entier – déjà, je paye ma tournée – c’est presque incompréhensible ! Réviser pour un examen ? Non plus. Pas mon genre. Sauf bien évidement ceux qui sont en jeu pour mon passage … Et là, je ne vous dis pas les merveilles que je peux faire. Je suis une abonnée aux acceptables. Oui bon et au piètre dans d’autre matière. Mais elles ne comptent pas pour mon projet d’avenir alors bon. Ce n’est vraiment pas de ma faute ! Enfin vous comprenez … J’ai le choix entre ne rien faire – un délice – trainer avec mes amis ou travailler. Il n’y a pas à réfléchir. Et puis je trouve toujours une âme charitable chez qui je viens mendier – mon frère – pour me permettre de réviser. Je passe ! Toujours ! Avec la moyenne. Et chaque année « Tu sais, ce n’est clairement pas comme ça que tu atteindras ton objectif Hye Rin ! » Oui oui. Je t’aime. Cause toujours. Oppa, tu dois savoir, s’il y a bien une chose que j’aime plus que toi c’est procrastiner. Quand je désire quelque chose je finis toujours par l’avoir, il me faut juste … un peu de motivation.

D’accord. Beaucoup de motivation. Et qui sait ? L’arrivée des élèves de Poudlard pourraient être amusant. Ou fort déplaisant. Je veux cette place de quidditch !
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